et non l’écrasement des différences."
La QVCT : Qu'est-ce que c'est ?
Ne pas confondre bien-être et QVCT
Les derniers événements sociaux économiques, les tensions géopolitiques ont profondément modifié la perception de notre environnement et de nos priorités et ont indirectement impacté le monde de l’entreprise.
S’intégrer dans une démarche QVCT vous aide à y faire face.
Son approche s’appuie sur le besoin de la performance économique de l’entreprise et sur la prise en compte des rapports humains.
Il faut qu’il y ait adéquation entre les valeurs promues par l’entreprise et les valeurs incarnées par celle-ci.
L’ACTION SUR LE BIEN-ÊTRE DES SALARIÉS N’EST PAS UN COÛT MAIS UN INVESTISSEMENT.
Pourquoi mettre en place une démarche QVCT dans votre entreprise ?
Parce que répondre aux obligations légales en investissant dans des actions ou achats ponctuels non significatifs ne contribueront pas à un changement pérenne bénéfique aux deux parties. Une table de ping-pong, un cours de yoga et une nouvelle machine à café, bien qu’appréciables, ne suffiront jamais à faire oublier les dysfonctionnements.
Pour répondre aux lignes directrices de la RSE (responsabilité sociétale de l'entreprise) ou norme ISO 26000
S’engager dans cette démarche holistique, c’est agir pour le bien-être de la société, de l’environnement, l’équilibre des écosystèmes, l’équité sociale et la bonne gouvernance de l’entreprise.
Une entreprise dont les performances RSE sont reconnues retire de nombreux avantages :
- une bonne réputation
- sa capacité à attirer et à retenir ses salariés, ses clients, ses partenaires
- le maintien de la motivation et de l’engagement et de la productivité des collaborateurs
- la vision des investisseurs, des sponsors, de la communauté financière,…
- ses relations avec les entreprises, les pouvoirs publics, les médias, les fournisseurs, les pairs, les clients et la communauté au sein de laquelle elle intervient
- etc.
La RSE s’appuie sur 7 piliers :
- La gouvernance de l’entreprise
- Droits de l’homme
- Relations et conditions de travail (QVCT)
- L’environnement
- La loyauté des pratiques
- Les questions relatives aux consommateurs
- Le développement local et des communautés
Certaines actions peuvent être entreprises sans avoir besoin de la coopération des salariés. Mais, une démarche en RSE pérenne ne peut fonctionner sans commencer par répondre au pilier de la QVCT. Quand vos équipes travailleront en synergie, vous pourrez étendre vos actions aux autres piliers avec l’adhésion et la participation de tous les collaborateurs de l’entreprise.
Pour résoudre des problématiques récurrentes
- Lutter contre l’absentéisme
- Diminuer le nombre d’arrêts de travail
- Gagner en attractivité auprès des talents lors du recrutement
- Améliorer le climat social
- Augmenter l’efficacité, la motivation et la productivité des salariés
- Fidéliser les collaborateurs
Pour accompagner un projet de changement
- Télétravail
- Déménagement dans de nouveaux locaux
- Fusion de services
- Mise en place de nouveaux outils
- Modification du process de travail
- Etc.
Pour prévenir les risques psychosociaux
Catégorisés en 6 familles, ils sont nombreux et évoluent en même temps que le monde du travail. La répétition de ces conditions peuvent entraîner de graves conséquences pour le salarié, mais sont tout autant importantes et dommageables pour l’entreprise (désorganisation, coût,…) :
- Trouble du sommeil, modification du comportement social (agressivité, démotivation…)
- Maladies cardiovasculaires
- Dépression et anxiété jusqu’à l’épuisement professionnel (burn-out) et parfois même au suicide
- Troubles musculosquelettiques (TMS) consécutifs à des facteurs psychologiques
45% des salariés déclarent devoir toujours/souvent se dépêcher.
27% des salariés déclarent devoir toujours/souvent cacher leurs émotions, faire semblant d’être de bonne humeur.
57 à 66% des salariés avec de grandes disparités selon le sexe, l’âge et la fonction (cadre, employé, ouvrier) déclarent souhaiter une plus grande autonomie sur les horaires de travail et dans les missions à accomplir.
30% des salariés signalent avoir subi au moins un comportement hostile dans le cadre de leur travail au cours des 12 derniers mois et 25% disent devoir faire appel à une aide extérieur en cas d’incident.
9% des salariés disent devoir faire des choses dans leur travail qu’ils désapprouvent.
20% des salariés craignent de perdrent leur emploi. (source INRS 2019)
Pour prévenir les troubles musculosquelettiques (TMS)
Les TMS regroupent un ensemble d’affections plurifactorielles de l’appareil locomoteur se traduisant par des douleurs et une gêne fonctionnelle résultant d’une inadéquation entre les capacités physiques du corps et les sollicitations ou contraintes auxquels le salarié est exposé : cervicalgies, lombalgies, tendinites, syndrome du canal carpien… Les TMS représentent plus de 80% des maladies professionnelles déclarées et ont une croissance supérieure à 13% par an sur la dernière décennie dans les pays de l’Europe de l’Ouest. Ils sont une source de désorganisation majeure pouvant entraîner une baisse de performance pour l’entreprise (diminution de la productivité, de la qualité…) et avoir un impact majeur en matière d’absentéisme et de turn-over.
Les principaux facteurs favorisants les TMS sont des :
Les mouvements répétitifs, les postures prolongées, les vibrations, l’exposition prolongée au froid sont souvent retrouvés. Un travailleur qui manipule toute la journée un marteau-piqueur se plaindra fréquemment d’un syndrome du canal carpien et de tendinites des membres supérieurs.
Plus difficiles à appréhender et à faire accepter, ils sont un élément essentiel dans le passage à la chronicité des TMS. Des conflits larvés, un sentiment de dépréciation, des problèmes d’organisation ou d’environnement au travail sont des éléments majeurs de cristallisation d’un TMS, que l’on retrouve particulièrement dans les problèmes de maux de dos.
L’âge, le sexe, une pathologie chronique préexistante (maladie endocrinienne) sont également des éléments qui influent sur l’expression d’une TMS.
Très souvent, l’apparition d’un TMS résulte du cumul de ces 3 types de facteurs. Un salarié ayant occupé un poste pendant de nombreuses années sans problème peut, à la faveur d’un changement de poste, du rythme de travail, d’une modification de l’encadrement, d’un événement personnel (pathologique ou relationnel), voire simplement lié au vieillissement, ressentir des douleurs, entretenues par la répétition de la situation ou des efforts produits. Le trouble s’installe progressivement et va conduire à un handicap, des arrêts de travail répétés pouvant aller jusqu’à la déclaration d’incapacité de travail.
Par où commencer ?
3 axes de travail en QVCT
- L’autonomie sur son poste de travail
- Le sens accordé au travail – sentiment d’utilité, reconnaissance et respect de l’individu et du travail accompli)
- Rester compétitif en innovant et en développant les compétences
- Encourager l’accès aux dispositifs de formation
- Sentiment de sécurité par la mise en place de feedback régulier
- Favoriser les rapports de confiance
- Développer une culture d’appartenance
- Communiquer sur les enjeux de l’entreprise et de ses objectifs
- Définir le rôle du salarié au sein de son équipe et de l’entreprise
- Maintenir une cohérence managériale
- Entretenir la capacité d’adaptabilité
- Etc.
Il a été mis en évidence que le turn-over dans une entreprise est principalement consécutif à un manque de reconnaissance et de respect.
- Conciliation du temps de travail / Équilibre des temps de vie
- Mise en place du télétravail
- Favoriser l’autonomie
- Renforcer l’équité en tenant compte du savoir-être, du travail, du comportement, de l’entraide,…
- Relations de travail et climat social agréables
- Renforcement de la marque employeur (image et culture de l’entreprise)
- Mise en place d’une politique de formation interne
- Les salaires proposés
- Former les managers au management bienveillant et de qualité
- Un turn-over minimum
- Les engagements RSE
- Améliorer l’environnement de travail
- Etc.
- Assurer le droit à l’erreur
- Assurer le droit à l’expression
- Favoriser les confrontations productives pour favoriser la création de valeurs
- Communiquer sur un objectif commun
- Sentiment de sécurité par la mise en place de feedback régulier
- Maintien de l’emploi
- Prévenir les RPS (risques psychosociaux) et les TMS (troubles musculosquelettiques)
- Etc.
Qualité de vie au travail : les outils que je vous propose pour initier le changement
La QVCT est accessible à toutes les entreprises qui le souhaitent.
Je vous apporte des solutions concrètes pour relever les nouveaux défis de l’entreprise et du salarié.
Accompagnement QVCT durable
Il permet à votre équipe de monter en compétence tout en prenant en compte leurs besoins individuels.
Ateliers bien-être
Il s’agit de deux formats d’ateliers pour améliorer vos performances en disposant d’un meilleur équilibre.
Animations bien-être
Elles sont axées sur la pratique de la respiration contrôlée, la décontraction musculaire et la visualisation positive sans apport théorique.
Accompagnement individuel
En plusieurs séances et en activant les ressources personnelles du salarié, j’utilise des outils personnalisés pour l’accompagner dans l’atteinte de l’objectif.
Ils m'ont déjà fait confiance
FAQ : mes réponses à vos questions
Il vous reste des interrogations en suspens. Voici des réponses aux questions que vous pourriez vous poser.
Il est important de ne pas confondre ces deux notions.
La notion de bien-être au travail va au-delà des notions de santé physique et mental. Elle fait référence à un sentiment général de satisfaction et d’épanouissement dans et par le travail.
Le rapport subjectif que l’individu tisse avec son environnement de travail est primordial car c’est le sens donné au travail et à son contexte qui va générer le sentiment de bien-être ou, à l’inverse, générer de la souffrance pouvant déboucher sur des problèmes graves (perte de sommeil, agressivité, atteinte à la santé…)
Ne pas oublier qu’une table de ping-pong et une machine à café ne suffiront jamais à faire oublier les dysfonctionnements.
En ayant fait mes formations avec l’IFQVT, je bénéficie d’un réseau de consultant(e)s ayant reçu les mêmes formations quemoi, je peux faire appel à leurs services pour me seconder ou me remplacer.
Non, pour que les participants se sentent libre d’exprimer leurs ressentis, leurs besoins et que la parole circule librement, les ateliers se font dans la bienveillance, le non jugement et dans le respect de la confidentialité.
Vous aurez connaissance du contenu des ateliers, du retour des participants et éventuellement, si je devais déceler un besoincommun, celui-ci si la préservation de l’anonymat pourra être préservé.
Selon le niveau de votre demande, je peux vous soumettre mes préconisations mais je peux aussi vous présenter une collègue dont c’est la spécialité.
Vous avez encore une interrogation ? Contactez-moi pour que nous puissions échanger sur vos besoins.